Il plut pendant quarante jours et quarante nuits.
Sur l’île de Tahataha, au fin fond des mers du Sud-Pacifique, on craignit un nouveau déluge.
Ce n’était pas la saison des pluies. Dans ce paradis tropical habité par trois cent soixante-douze Mélanésiens métissés, un certain nombre d’Indiens, quelques commerçants chinois, trois Français et une Française, les pluies diluviennes prirent les proportions d’un événement historique, sans précédent, redoutable.